Nous présentons les résultats qui support la thèse socioepistemologique au sujet d'un savoir mathématique articulé et fonctionnel si l'explication sur la construction de ce savoir change de la concentration d'objets vers les pratiques. Pendant la première s'appuie sur une idée de préexistence à la marge de l'expérience de l'individu et les explications émergentes des meme mathématiques, à travers de la socioépistémologie de le périodique qui se présent maintenant, ca c'est ouvre la possibilité d'avoir des autres cadres de référence qu'ils nous permettent de se rendre compte, a travers des pratiques sociaux, de ca qui constitue le savoir mathématique. La méthodologie sur laquelle nous nous appuyons elle propose l'admission de ces pratiques sous des dessins dans ceux qui se développent d'une manière intentionnelle. De cette manière, c'est possible offrir évidence sur la resignification du savoir dans l'organisation des groupes humains, en favorisant des articulations significatives.
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