
Pendant les années 94-95 et 95-96 on a mené à bout une expérience de «investigation-action» avec des élèves de 1ère année de Baccalauréat –Bachillerato Unificado Polivalente (BUP)- qui assistaient aux cours dans la soirée, et dont l’un des objectifs était d’analyser la répercussion sur l’opinion et sur l’attitude des élèves suite à l’implémentation en classe du modèle didactique de gestion mentale de A. de La Garanderie. Le point de départ de ce modèle est dans l’idée que toutes les connaissances se construisent “en les utilisant” dans certaines domaines conceptuelles, c’est-à-dire, dans des contextes et des situations de communication sociale pareilles à celles qui se produisent dans la salle de classe. Cet article rend compte d’une partie d’une recherche bien plus large faite à l’Université de Valladolid et, étant donné son importance, nous ne présentons que la répercussion -positive- que le modèle cité exerce sur l’opinion et sur l’attitude des élèves vis à vis des mathématiques, dûe à l’amélioration de leur travail comme conséquence d’avoir acquis des compromis de participation dans des tâches d’apprentissage.